En utilisant ce site web, vous acceptez que nous utilisions des cookies. Vous pouvez en savoir plus dans la politique de confidentialité.
La Quotidienne de Bruxelles - Meurtre de Louise: un homme et sa mère placés en garde à vue
-
-
Choisir une langue
Fermeture automatique en : 3
Wie gewohnt mit Werbung lesen
Nutzen Sie La Quotidienne de Bruxelles mit personalisierter Werbung, Werbetracking, Nutzungsanalyse und externen Multimedia-Inhalten. Details zu Cookies und Verarbeitungszwecken sowie zu Ihrer jederzeitigen Widerrufsmöglichkeit finden Sie unten, im Cookie-Manager sowie in unserer Datenschutzerklärung.
Use La Quotidienne de Bruxelles with personalised advertising, ad tracking, usage analysis and external multimedia content. Details on cookies and processing purposes as well as your revocation option at any time can be found below, in the cookie manager as well as in our privacy policy.
Utilizar La Quotidienne de Bruxelles con publicidad personalizada, seguimiento de anuncios, análisis de uso y contenido multimedia externo. Los detalles sobre las cookies y los propósitos de procesamiento, así como su opción de revocación en cualquier momento, se pueden encontrar a continuación, en el gestor de cookies, así como en nuestra política de privacidad.
Utilisez le La Quotidienne de Bruxelles avec des publicités personnalisées, un suivi publicitaire, une analyse de l'utilisation et des contenus multimédias externes. Vous trouverez des détails sur les cookies et les objectifs de traitement ainsi que sur votre possibilité de révocation à tout moment ci-dessous, dans le gestionnaire de cookies ainsi que dans notre déclaration de protection des données.
Utilizzare La Quotidienne de Bruxelles con pubblicità personalizzata, tracciamento degli annunci, analisi dell'utilizzo e contenuti multimediali esterni. I dettagli sui cookie e sulle finalità di elaborazione, nonché la possibilità di revocarli in qualsiasi momento, sono riportati di seguito nel Cookie Manager e nella nostra Informativa sulla privacy.
Utilizar o La Quotidienne de Bruxelles com publicidade personalizada, rastreio de anúncios, análise de utilização e conteúdo multimédia externo. Detalhes sobre cookies e fins de processamento, bem como a sua opção de revogação em qualquer altura, podem ser encontrados abaixo, no Gestor de Cookies, bem como na nossa Política de Privacidade.
Un homme et sa mère ont été placés en garde à vue dans le cadre de l'enquête sur le meurtre de Louise, 11 ans, dont le corps a été retrouvé dans un bois à Longjumeau (Essonne), non loin de son collège d'Epinay-sur-Orge, où l'émotion était vive lundi.
Taille du texte:
L'homme, âgé de 23 ans, est mis en cause pour meurtre sur une mineure de moins de 15 ans. Sa mère, âgée de 55 ans, est soupçonnée de non-dénonciation de crime.
Ils ont été arrêtés par les enquêteurs de la Division de la criminalité organisée et spécialisée de Versailles (DCOS, ex-PJ), a détaillé le procureur de la République d'Evry, Grégoire Dulin.
"Des vérifications sont en cours afin de déterminer leur éventuelle implication dans la commission de ces faits", précise-t-il dans un communiqué.
"Dans l'attente, le parquet rappelle que chaque personne placée en garde à vue bénéficie du droit au respect de la présomption d'innocence", ajoute M. Dulin.
Le corps de Louise, disparue à la sortie de son collège d'Epinay-sur-Orge vendredi après-midi, a été retrouvé vers 2H30 samedi dans le bois des Templiers à Longjumeau, à quelques centaines de mètres de l'établissement scolaire.
Un couple d'une vingtaine d'années avait été placé en garde à vue samedi avant d'être relâché sans poursuites. Le parquet a précisé que l'homme interpellé lundi n'était pas celui qui a été libéré ce week-end.
Des fouilles ont été menées dimanche jusqu'en fin d'après-midi dans le bois des Templiers.
Selon une source proche du dossier, le téléphone de la victime a été retrouvé à proximité de son corps.
- "La peur est là" -
Lundi, les élèves du collège André Maurois, où était scolarisée Louise, sont retournés en classe dans la stupeur et l'incompréhension.
Devant l'entrée de l'établissement, gardée par un important dispositif policier, de nombreux bouquets et bougies avaient été disposés pour rendre hommage à Louise.
"On a tellement pleuré" ce week-end, a témoigné Gisèle, venue à pied de chez elle avec sa fille, en classe de 5e, et une autre collégienne.
Jointe à nouveau en fin de journée par l'AFP, cette mère d'élève confiait ne pas se sentir sereine malgré l'annonce de l'interpellation de deux suspects lundi après-midi.
"La peur est toujours là et au moins cette semaine je serais rassurée d'accompagner ma fille", a expliqué Gisèle.
"Pendant les vacances scolaires, on va réfléchir à une solution pour lui permettre d'aller à l'école en toute sécurité, car on ne peut pas non plus faire vivre nos enfants sous cloche", a-t-elle ajouté.
Dès le week-end, une cellule d'écoute psychologique coordonnée par le SAMU avait été installée dans la mairie d'Epinay-sur-Orge. La ville et sa voisine de Longjumeau ont aussi mis en place un dispositif de sécurité sur les trajets du collège.