En utilisant ce site web, vous acceptez que nous utilisions des cookies. Vous pouvez en savoir plus dans la politique de confidentialité.
La Quotidienne de Bruxelles - Damas demande au Conseil de sécurité de l'ONU de "faire pression" sur Israël
-
-
Choisir une langue
Fermeture automatique en : 3
Wie gewohnt mit Werbung lesen
Nutzen Sie La Quotidienne de Bruxelles mit personalisierter Werbung, Werbetracking, Nutzungsanalyse und externen Multimedia-Inhalten. Details zu Cookies und Verarbeitungszwecken sowie zu Ihrer jederzeitigen Widerrufsmöglichkeit finden Sie unten, im Cookie-Manager sowie in unserer Datenschutzerklärung.
Use La Quotidienne de Bruxelles with personalised advertising, ad tracking, usage analysis and external multimedia content. Details on cookies and processing purposes as well as your revocation option at any time can be found below, in the cookie manager as well as in our privacy policy.
Utilizar La Quotidienne de Bruxelles con publicidad personalizada, seguimiento de anuncios, análisis de uso y contenido multimedia externo. Los detalles sobre las cookies y los propósitos de procesamiento, así como su opción de revocación en cualquier momento, se pueden encontrar a continuación, en el gestor de cookies, así como en nuestra política de privacidad.
Utilisez le La Quotidienne de Bruxelles avec des publicités personnalisées, un suivi publicitaire, une analyse de l'utilisation et des contenus multimédias externes. Vous trouverez des détails sur les cookies et les objectifs de traitement ainsi que sur votre possibilité de révocation à tout moment ci-dessous, dans le gestionnaire de cookies ainsi que dans notre déclaration de protection des données.
Utilizzare La Quotidienne de Bruxelles con pubblicità personalizzata, tracciamento degli annunci, analisi dell'utilizzo e contenuti multimediali esterni. I dettagli sui cookie e sulle finalità di elaborazione, nonché la possibilità di revocarli in qualsiasi momento, sono riportati di seguito nel Cookie Manager e nella nostra Informativa sulla privacy.
Utilizar o La Quotidienne de Bruxelles com publicidade personalizada, rastreio de anúncios, análise de utilização e conteúdo multimédia externo. Detalhes sobre cookies e fins de processamento, bem como a sua opção de revogação em qualquer altura, podem ser encontrados abaixo, no Gestor de Cookies, bem como na nossa Política de Privacidade.
Le chef de la diplomatie syrienne a appelé vendredi le Conseil de sécurité de l'ONU à "faire pression" sur Israël pour qu'il se retire de son pays, lors de sa première intervention au siège des Nations unies.
Taille du texte:
"Nous demandons au Conseil de sécurité de faire pression sur Israël pour le retrait de Syrie et pour appliquer l'accord de désengagement de 1974", a déclaré Assaad al-Chaibani.
Après la chute du régime de Bachar al-Assad, Israël a déployé des troupes dans une zone tampon contrôlée par les Nations unies, qui sépare les forces israéliennes et syriennes sur le plateau stratégique du Golan depuis 1974.
"Nous avons indiqué de façon répétée l'engagement de la Syrie à ne pas être une menace pour ses voisins ou n'importe quel pays dans le monde, y compris Israël", a assuré le ministre syrien, dénonçant également les frappes israéliennes contre son pays.
Il a d'autre part plaidé pour une levée de toutes les sanctions imposées sous le pouvoir précédent, une "étape cruciale pour transformer la Syrie d'un pays connu pour son passé sombre en un partenaire fort pour la paix, la prospérité et l'économie internationales".
Les sanctions économiques frappent lourdement le pays, où selon l'ONU, 90% des Syriens vivent sous le seuil de pauvreté.
Le ministre a enfin salué un "jour historique" pour la Syrie, après avoir hissé vendredi matin le nouveau drapeau de son pays au siège des Nations unies à New York aux côtés de ceux des 192 autres Etats membres.
"Ce drapeau n'est pas seulement un symbole, mais la proclamation d'une nouvelle vie née de la souffrance, représentant un avenir qui émerge grâce à la résilience et une promesse de changement après des années de souffrance".
L'émissaire de l'ONU pour la Syrie Geir Pedersen a fait écho à plusieurs des préoccupations du chef de la diplomatie syrienne.
Il a ainsi demandé un "allègement supplémentaire des sanctions" et dénoncé les "violations israéliennes de la souveraineté territoriale de la Syrie", accusant Israël d'une "approche agressive non justifiée" au vu de l'espace diplomatique existant.
Il s'est d'autre part inquiété de la fragilité de la transition politique, quatre mois après la chute de l'ancien régime. "Le processus de transition est à un carrefour", a-t-il noté, réclamant en particulier "plus d'inclusion politique et plus d'action économique" pour permettre son succès.
Le responsable onusien, qui était à Damas il y deux semaines, a souligné notamment le "défi urgent" que représentent les inquiétudes de la communauté alaouite.
Des massacres avaient visé début mars cette minorité associée au clan de l'ancien président Bachar al-Assad, en particulier sur le littoral syrien, faisant plus de 1.700 morts selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).